L’émission « Bien nourrir son cerveau », sur ARTE, a quant à elle mis en évidence l’impact des aliments transformés sur notre cerveau et donc sur nos comportements.
Ainsi, la dépendance au sucre s’effectuerait notamment via la consommation d’aliments transformés qui en contiennent à notre insu (par exemple le faux jambon et la soupe industriels, qui n’ont pourtant pas vocation à être sucrés).
De plus, l’absorption d’aliments transformés agirait à tous les stades de la vie, depuis l’état embryonnaire. En effet, une autre étude a montré que les enfants dont les mères avaient consommé beaucoup de produits transformés pendant leur grossesse étaient plus agressifs, plus anxieux, plus capricieux, et plus tristes. De même, des prisonniers ayant été supplémenté en vitamines, minéraux et acides gras essentiels ont vu leur taux d’agressivité chuter en flèche. Enfin, la malbouffe serait responsable de troubles cognitifs (notamment des pertes de mémoire) et rendrait moins empathique.
Autant d’études réalisées partout dans le monde qui démontrent à quel point une alimentation saine, naturelle, dénuée d’additifs et non-transformée agit à tous les niveaux de notre bien-être physique, mental et/ou psychologique. Pour s’en approcher au maximum, la consommation de produits locaux (en privilégiant le « fait-maison ») est vivement recommandée !